Authors: Audrey Storm
"prem
iè
re fois ?" demanda-t-il.
"UM ouais, est-ce que?"
ré
pondis-j
eé
videntes.
"Ouais, c'est ", dit-il en riant. "Mon nom est John. Ne vous inqu
ié
tez pas, nou
sé
tions tous nouveaux une fois."
" Andrea," J'ai dit. " Et contrairemen
t
à vous, je ne sera pas un client
ré
gulier."
Il fro
nç
a les sourcil
s
à moi.
"Et pourquoi ? ", demande-t-il.
"Parce que je suis une femme mar
ié
e ", je l'ai dit, clignotan
t
à ma bague de lui.
"HA", at-il dit fort. "Si vou
sé
tiez mar
i
é heureux, vous ne seriez pas ici. Ne vous inqu
ié
tez pas, le miel, la majori
t
é d'entre nous sont mar
ié
s et nous aimons nos conjoints. Nous avons juste besoin d'un pe
u
… plus". Il a fait un clin d'oei
l
à moi comme il fini de purger sa peine, puis s'est assis et a comman
d
é une boisson.
"Avec qu
iê
tes-vous ?"
"Mon ami Alissa", ai-je
ré
pondu.
"Oh yeah, Aliss
a
… " dit-il avec un sourire.
"Vous la connaissez?" J'ai deman
dé
.
"Oh non, ne vous inqu
ié
tez pas. Je ne sais pas son comm
eç
a. Elle est l'une de mon ami des filles."
"Oh", ai-je
ré
pondu, ne sachant pas quoi dire.
John a s
iég
é avec moi, de boire la plupart de la soi
ré
e, et ap
rè
s trois ou quatre verres, il m'a deman
d
é de se joindr
e
à lui sur la piste de danse. J'ai
dé
ci
d
é qu'une danse ne ferait pas de mal et lui ai dit que j'adorerais dance.
Une fois que nou
sé
tion
s
à l
'é
tage, John m'a ti
r
é p
rè
s de lui sans aucune
hé
sitation. Il avait ses mains sur le petit de mon dos et m'a maintenu fermement contre lui. Il n'allait pas laisser aller et je pourrais dire que par la f
aç
on dont il me tenait.
Son visag
eé
tait seulement quelques pouces loin de la mienne et je pouvais sentir son souffle sur mon cou. Je pourrai
sé
galement me piquer le ressenti
r
à travers son pantalon, et pour la prem
iè
re fois depuis des an
né
es, je me suis senti sexy. Je me sentais comme si j
'é
tais souhaitable, et qu'un homme
aét
é atti
r
é à moi. Elle se sentait tellement bon.
J'ai regar
d
é autour de la piste de danse et i
lé
tai
té
vident que j'avais perdu Alissa. J'ai eu le sentiment qu'ell
eé
tait en con
g
é avec quelques hommes de sa propre, jouissant de sa soi
ré
e. J'ai pla
c
é mes mains autour du cou et ont
dé
ci
d
é de John a fermer la danse ne ferait pas de mal.
John vient de me chuchote
r
à l'oreille,
"il n'a pa
s
à
ê
tre le sexe."
J'ai ti
r
é vers l'arr
iè
re et le regarda, en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire. Lentement, il
démé
nage dans de plus p
rè
s et a commen
c
é à me baiser. Il a g
oût
é tellement extraordinaire, et sa chaleureuse
lè
vres senti aussi bien contre le mien. Je me sentais comme si j
'é
tais en train de fondre dans ses mains.
La soi
ré
e a contin
u
é comm
eç
a; nous serions dance, Kiss, obtenir un verre, puis finir sur le plancher de danse de nouveau. Je suis persua
d
é que nou
sé
tions le seul couple qui n'a pas profi
t
é des autre
sé
tages du club, et je dois admettre que plus d'une fois j'ai voulu lui attraper ma main et emmenez-mo
i
à l
'é
tage suivant, mais il ne l'a jamais fait.
Il semble comme si il n'appartiennent pas
là
; il semblai
tê
tre un vrai gentleman. Nou
sé
tions assis au bar quand Alissa marcha jusqu'et m'a deman
d
é si j
'é
tais p
rêt
à aller.
Nous sommes al
lés
à pied jusqu
'
à la voiture de Alissa, et que nous sommes al
lé
s nous, elle m'a deman
d
é si je juste assis au bar toute la nuit. Je lui ai dit au sujet de John et la f
aç
on dont nous avions pas
s
é la soi
rée
à parler. Je n'ai pas cependant lui dire au sujet de la danse ou l
'é
tablissement.
Quand je rentrai
s
à la maison, n
'é
tait pas encore d'accueil Alvah. J'ai senti une certaine tristesse; il ne savait
mê
me pas qu'on m'a disparu. Il n'a
mê
me pas me manquer. Une fois j
'é
tai
s
à l'in
té
rieur de la maison, j'ai commen
c
é à prendre mes
vê
tements off pour que je puisse entrer dans la douche, et pour la prem
iè
re fois depuis longtemps, je me suis senti t
rè
s sexy. J'ai presque regret
t
é de ne pas avoir des rapports sexuels avec John alors que j
'é
tais au club. Je n'ai pas pu m'em
pê
cher de pense
r
à la f
aç
on dont sa bite appu
yé
e contre moi tandis que nous avons dan
sé
. C
'é
tait presque comme si je pouvais encore ressentir son corps contre le mien.
J'ai rapidement la
v
é mon corps,
sé
c
hé
, et diri
g
é au lit. J'a
iét
é surpris de trouver Alvah
déj
à dans le lit quand je suis arri
v
é
là
.
"Quand vous rentrez chez vous ?" Je lui ai deman
dé
.
"Il y a quelques minutes," dit-il me regarde avec un sourire sur son visage.
J'ai ri,
"Qu'est-ce que vou
sê
tes tellement heureux?"
" Ai-je besoin d'avoir une raison d
'ê
tre heureux?"
"Eh bien non," Je lui ai
ré
pondu. "Je ne le pense pas."
J'ai glis
s
é dans le lit et il a rou
l
é sur pour me regarder. Je me suis senti comme si la culpabili
t
é
aét
é
é
crit sur tout le visage. J'ai mis sur mon, faisant fac
e
à l
'é
loigner de lui, et je me suis senti son bras glisser autour de ma taille. Il n'avait pas occu
p
é de moi pendant que nous dormions dans un long temps je savais que quelque chose d
'é
trange se passe.
J'ai senti qu'il
dé
placer son corps plus p
rè
s de la mienne, et il Avant je savais que
aét
é pres
sé
e contre moi.
"Qu'est-ce que tu fais?
"
Je lui ai deman
dé
.
Il a commen
c
é à me baiser sur l'arr
iè
re du cou et je pouvais sentir sa bite me piquer par derr
iè
re. J'a
iét
é tellement confus. Ce qui dans le monde s'est-il pas
sé
? Il n'a jamais agi comme ce vers moi.
Je a bascu
l
é sur mon dos. "Qu'est-ce que tu fais ", J'ai deman
d
é à nouveau.
Il n'a toujours pas me
ré
pondre, mais a commen
c
é à s'embrasser le bas ma poitrine, coulissante ses mains sur son corps, mon corps.
"J'ai faim, " dit-il.
J'ai finalement compris. Il n'avait pa
sét
é en mesure de nourrir ce soir-
là
, et bien entendu, il s'attendai
t
à me voir prendre soin de lui.
J
'é
tais assis,
dé
pose ma chemise de sorte qu'il serait en mesure de se nourrir. Il a toujours nourri dans des domaines qui ne seraient pas visibles. Beaucoup de gens pensent que lorsqu'un vampire se nourrit, il n'a pas laisse une marque, mais en
ré
ali
té
, il laisse une grande ecchymose, donc ils nous ont toujours pris soin de s'assurer il nourrissait
o
ù personne d'autre pourrait voir.
Alvah embrassa sa man
iè
re vers le ba
s
à mon estomac. Je ne savais pas pourquoi i
lé
tait me baiser ; tout ce qu'il avai
t
à fair
eé
tait de se nourrir. J'ai senti son crocs sombrer dans ma peau et l'odeur de lui sucer mon sang. Je me demandais s'il serait en mesure de dire j'avais bu ce soir-
là
.
Alors qu'il a nourri, ses mains parcouraient mon corps, et il s'est agrip
p
é par seins et ser
ré
es. I
lé
tait difficile de ne pas profiter de son toucher; ap
rè
s tout, i
lé
tait mon mari, et je n'ai l'aimer. S'il y avait un homme que je souhaitais me toucher, c
'é
tait lui.
Il glissa son pouce sur mon mamelon et je laisse un petit
gé
mir. Il
aét
é depuis si longtemps, il m'a touc
h
é de cette f
aç
on, et mon corps douloureuse pour plus. J'ai ado
r
é la f
aç
on dont elle ressenti quand il nourrissait ; je savais que j
'é
tais lui donnant la vie, que je lui donne ce dont il avait besoin. Je me sentais coupable quan
t
à leurs
dé
penses en temps avec John et essa
y
é de pousser la
ré
flexion sur ma
tê
te et profitez de la sensation de mon mari a les mains sur mon corps.
Quand il
aét
é fini de se nourrir, je me sentais sa langue clapoti
s
à ma peau, nettoyer les dern
iè
res gouttes de sang. Il a soule
v
é sa
tê
te et m'a regar
dé
. Ses yeux semblaient comme si ils ont transper
c
é par l'inter
mé
diaire de mo
nâ
me. J'a
iét
é stu
pé
fait de voi
r
à quel point ses yeux me rappelait John's-si bleu qu'il a semb
l
é comme si elles n
'é
taient pas
ré
els. Peut
-ê
tre que c
'é
tait la raison pour laquelle j'a
iét
é tellement atti
r
é à John; dans un petit chemin, il m'a rappe
l
é de mon mari.