Authors: Audrey Storm
"Je ne sais pas de quoi vous parlez."
" Nous savons tous les deux que vous n'avez jamais aventu
ré
s trop loin hors de la b
oî
te et peut
-ê
tre que c'es
t
à peu p
rè
s temps que vous faites. J'aimerais vous voir comme cela, mais j'aime aussi de voir qu'une forte big femmes confiantes que LIFE, que j'ai vu dans mon bureau. C'est votre f
aç
on de laisser ces deux
côté
s hors de vou
s
à un moment don
né
. Il y a peut
-ê
tre encore une fois que je suis dans mon bureau et je vais vous menottes par derr
iè
re et virage vous; prend vous aimez aucun homme n'a jamais eu. Vous vous sentirez votre culotte ti
r
é sur le
côt
é puis la p
ré
sence de mon dure et rigide le bouton en appuyant sur jusqu'contre vos
lè
vres." Comme il parlait, je recevais humide et ma culott
eé
taient col
lé
e
s
à moi.
" Je ne crois pas que nous devrions faire ceci et cela va au-de
l
à de l'emplo
y
é et l'employeur relation." C
'é
tait mon dernier effort pour lui donner un moment pour
ré
f
lé
chi
r
à ce qu'il faisait. Je ne voulais pas m'ar
rê
ter, mais je n'ai pas envie d
'ê
tre, si facilement
sé
duit dans une servitude et de domination type de chose. Je n'ai jamai
sét
é
l
à avant, mais
l
à encore personne ne m'avait p
ré
sen
t
é les plaisirs de l
'ê
tre immobili
s
é et incapable de se
dé
fendre. Je n'y pouvais rien." Je pense que s'il n'y avait pas de sauter hors de l'avion, je risque de ne pa
sê
tre p
ré
sent impatients d'accepter son genre d'avances.
" Evan, je ne pense pas que ce soit la prem
iè
re fois que vous l'avez fait pour une femme. C'est juste, si bien cho
ré
graph
ié
s. Juste que je suis sans doute l'un des nombreux qui ont succom
b
é à votre manly man
iè
res." I
lé
tait penaud souriant et me donner ce sourir
e
à me prouver que ce n
'é
tait pas son premier rodeo.
" J'aime le choc et j'aime exciter mes partenaires au point qu'ils sont p
rê
t
s
à fair
e
à peu p
rè
s n'importe quoi. Il n'y a pas eu beaucoup comme vous qui ont app
ré
c
i
é le fait d
'ê
tre pris hors de leur zone de confort. Vou
sê
tes t
rè
s dif
fé
rente de n'importe quelle de ces. Vous ressemblez vou
sê
tes chez vous dans les ch
aî
nes. Je ne peux pas vous dire combien cela suscite de moi. Voir juste vous aimez cela rend mon coq dur. Si vous ne me croyez pas, alors vous pouvez le voir par vous-
mê
me."
Il n'a
mê
me pas attendu ce que ma
ré
ponse allai
tê
tre, avant qu'il
dé
fait la fermetur
eé
clair de son pantalon et sorti une p
iè
ce d
'é
quipement qui auraient pu rendre la plupart des hommes jaloux. Il serrait et por
té
e
s
à la pointe de la formation d'une bulle qui paraissaient presque asse
z
à manger. "Je peux voir le chemin que vous me regardez, Joan et vous souhaitez g
oû
ter. Tout dire et je vais peut
-ê
tre vous consi
dé
rer comme dignes d'avoir u
né
chantillon suffisamment." Il a touc
h
é du doigt le fond et l'a ti
r
é de loin pour former cette longue ch
aî
ne, avant de perdre contact. Il s'accrochait encore de son doigt et il s'est
dé
pla
c
é vers l'avant et l'arr
iè
re en face de mes
lè
vres. J'ai soudainement bloq
u
é en dehors ma langue et frapper sur le tampon. car
ré
s Mais quand j'ai reti
r
é ma langue, j'ai appor
t
é avec elle que
mê
me ch
aî
ne que j'avais vu de sa queue chef jusqu
'
à son doigt.
J'ai
lé
c
h
é propre et fait en sorte qu'il n'y avait aucun signe qu'il n'avait jamai
sét
é
là
. J'ai su
c
é ce doigt et le regarda en
mê
me temps, jusqu
'
à ce qu'il finalement reti
ré
es et tourna le do
s
à moi.
"Joan, vous ave
zét
é un peu d'une grande surprise et une
révé
lation en
mê
me temps. Vou
sê
tes exactement le type de femme que je cherche. Vous laissez-vous aller et vou
sê
te
sé
galement en mesure d'intervenir et d
'ê
tre une force avec laquelle il faut compter dans les affaires. C'est ma f
aç
on de sortir de ma
tê
te et je pense que je viens de trouver un partenaire appropr
i
é pour le faire. Je suis enga
gé
, mais elle ne me connaissent pas comme cela. Je ne peux pas maintenir vivant ce mensonge." Il marchait derr
iè
re moi et je me suis senti son arbre claque contre mon grand fond joues.
"Putain, vou
sê
tes rendant t
rè
s difficile de dire no
n
à vous. Evan, j'avais des fantasmes sur vous, mais je n'ai jamais cru un instant qu'ils allaient venir vrai. J'ai
dé
shabil
l
é vous avec mes yeux, nourris avec des que la bite de la
vô
tre, bien que la voir Up Close and Personal ne correspondent pas vraiment mon imagination. J'ai pen
s
é que j'avais mesu
r
é votre taille, mais ces 9 pouces sont environ 2 pouces plus que je pensais que vous allie
zê
tre. Vou
sê
te
sé
galement plu
sé
paisse et je ne me plains pas, parce que je pense que vous pourriez vraiment remplir moi jusqu'."
Je me suis senti ses mains
ré
pand mes joues et puis son bouton de remis
e
à
zé
ro est descendu et en sur la cible en question.
"Joan, vous n'avez jamai
sét
é prises par moi, et je pense que vou
sê
tes dedans pour un festin qui va vous faire revenir pour plus. Lorsque j'ai fait avec vous, vous aurez pratiquement mendier dans vos mains et genoux pour moi de le faire de nouveau. Vous allez veni
r
à moi volontairement et il ne sera pas question
l
à
o
ù nous sommes. Nous pourrion
sê
tre dans le bureau, un restaurant ou une
ré
union d'affaires, et cette
né
cessi
t
é se fera venir sur vous. Il vous fera sentir obli
gé
s murmure
r
à mon oreille que vous voulez ma main ferme."
"Ar
rê
tez d'en parler et il suffit de le faire
déjà
." J'ai essa
y
é de mon mieux pour lu
i
à l'in
té
rieur de moi, mai
s
à tout moment que mes
lè
vres touc
h
é son bouton; il se retire
r
à la dern
iè
re seconde. Il
aét
é comme un jeu de combien je pourrais prendre, avant je hurlerai
t
à
ê
tre prises. "Je ne sais pas ce que vous cherche
z
à prouver, mais je vais vous donner quelque chose, juste pour que vous pouvez glisser cette chose dans entre mes plis. Mes
lè
vres sont endoloris et j'ai ce besoin d
'ê
tre ent
iè
rement immer
gé
e dans votre monde." Il m'a don
n
é seulement la
tê
te et i
lé
tait plus que suffisant pour me faire envie de plus.
" Je pense que je vais vous permettent de faire le sale travail. Si vous voulez vraiment, puis montrez-moi par la sauvegarde en elle. Les ch
aî
nes sont de mou sur les branches et tout ce que vous ave
z
à faire est de arch
légè
rement et je conn
aî
trai que vou
sê
tes p
rê
t." I
lé
tait encore
vê
tue de son costume. J'ai je
t
é un coup d'oeil en arr
iè
re pour voi
r
à lui comme cela. Ma robe est toujours
dé
tenu par rien, mais la pure volon
t
é et j'es
pé
rais qu'il allait le rester.
"Oh mon "crisse". J'avais Dieu fait ce que j'avais l'intention de le faire, lui glisser devant l'ent
ré
e et le sentiment qu'en train alle
r
à sa dern
iè
re station. Il m'avait fermement par les hanches et je savais que j
'é
tais en p
ré
sence de quelqu'un qui pourrait prendre le cont
rô
le. Je n'avais rie
n
à faire et quand j'ai atteint le creux de la vague, il a commen
c
é à me baise hard et sauvage de telle sorte qu'il est impossible pour moi de rester calme.
"Joan, vous voulez qu'il et je suis l'homme de vous le donner. Vous pensez que l'argent qui me rend heureux, mais il ne l'est pas. Vous pensez que ce pouvoir me
ré
veille le matin, mais il ne l'est pas. Mon
vé
ritable moment de briller est disponible ici et maintenant. Je revel dans mon endurance et la virili
t
é de la loi. Je dois sentir une femme contre moi, mais j'ai aussi ce
dé
sir de tenir son her
mé
tiquement et savent qu'il n'y a pas de f
aç
on qu'elle puiss
eé
chapper." Sa queu
eé
tait maintenant de conduire facilement en avant et en arr
iè
re et il n'y a vraiment rien de plus que je pourrais le faire, mais se tenir
l
à et de prendre tout ce qu'il voulait me donner.
Je me suis senti ses mains se
dé
placent autour de ma poitrine. Mes mamelon
sé
taient
déj
à assez difficile qu'ils on
tét
é
tâ
ter un trou contre la paume de sa main. J'ai don
n
é à ce
dé
sir. C
'é
tait un
dé
sir que je ne savais
mê
me pas que j'ai eu, jusqu
'
à ce qu'il s
'é
tait approc
h
é et m'a mont
ré
. J'ai ai
m
é avoir quelqu'un d'autre tenant les
rê
nes et je pourrais ont maudit son nom au premier abord, mais maintenant je criait dans le plaisir.