Authors: Audrey Storm
Quand je me suis
ré
veil
l
é le lendemain matin, il faisait encore sombre. J'ai pris mon ca
f
é et s'est rhabil
lé
. Je portais u
né
coulement robe longue qui a mont
r
é hors de mon courbes ainsi que mon clivage. Si M. Shaffer voulait me voir, je tenai
s
à faire bonne impression. Une fois que le soleil avai
tét
é soule
vé
e, j'ai pris mon
télé
phone cellulaire et l'appelait.
"Bonjour".
" UM, M. Shaffe
r
… c'est le lierre. Vous m'a dit de vous appeler," je
bè
gue.
"Eh bien, vous n'avez pas jusqu'au
dé
but?" dit-il en riant. "Si vous avez pen
s
é à mon offre ? "
"Oui, monsieur", ai-je
ré
pondu. " Je ferai tout mon possible pour vous aider. Tout ce dont vous avez besoin. "
"Hmmm, tout ce que je besoi
n…
" Il a
ré
pondu. "Pourquoi ne mettez-vous pas me donner environ 30 minutes et venir? Nous pouvons parler davantage ici."
"d'accord", je l'ai dit, le fait de raccrocher le
télé
phone. Je tremblais alors que je me trouvais dans ma salle de
sé
jour, pas vraiment ce que je devais m'attendre. J'es
pè
re que Valari
eé
tait mauvais, mais quelque chose dans mon instinct me dit qu'elle avait raison.
Je me suis surchar
g
é de faire quelques
tâ
ches autour de la maison et ensuite diri
gé
s vers le Dr Shaffer's. Le lecteur semblait qu'il fallait un
eé
terni
t
é et quand j'ai finalement arri
vé
s, mon coeu
ré
tait comme alle
r
à battre de ma poitrine.
J'ai ga
r
é ma voiture et sorti de celui-ci. En observant le Dr Shaffer de chambre, j'ai pris la parol
e
à l
'é
tonnement. C
'é
tait une maiso
né
norme, le genre que je n'avais vu dans des films. Il y avait une fontaine dans la cour avant qui ressemblai
t
à la statue de David. Les buissons sont toutes joliment
dé
cou
pé
s et les fleurs on
tét
é plan
té
s autour de la maison. Il y a une
vé
randa, et comme j'ai marc
h
é jusqu
'
à l'escalier, je me suis rendu compte que M. Shaffe
ré
tait debout dans l'embrasure de la porte, qui me regarde.
Il souriait et est sorti de la voie afin que je puisse alle
r
à l'in
té
rieur. L'in
té
rieur de la chambr
eé
tait tout aussi impressionnant que l'ex
té
rieur. Les mur
sé
taient recouverts d'oeuvres d'art magnifiques. Je me suis tour
n
é et a regar
d
é le
mé
decin.
" Venir ", dit-il. " Se joindr
e
à moi dans la salle de
sé
jour."
J'ai suivi lui comme il est ent
r
é dans la salle suivante. Il
aét
é t
rè
s bien
dé
co
ré
es. Je me suis rendu compte que le
mé
decin avait un incroyable sentiment de style ou il avait pa
y
é un concepteur beaucoup d'argent pour
dé
corer la chambre.
Je me suis assis sur le cana
p
é et M. Shaffer assi
s
à
côt
é de moi. Il a ver
s
é deux boissons dont il avait assis sur la table devant le cana
p
é et en a remis un
e
à moi.
"Je suis, um, je ne suis pas assez vieux," je l'ai dit regarde.
"Je ne dirai rie
n
à qui que ce soit si vous n'avez pas", dit-il, rire, et pris un verre.
Je siro
t
é la boisson qu'il m'avait don
né
e et il g
oût
é amer. J'ai pris un visage et il me sourit.
"Je suppose donc que nous devrions nous mettre im
mé
diatement au travail, hein?" Il a dit, en tournant son corps vers moi.
" Je pense que oui ", lui ai-je
ré
pondu. Je n
'é
tais toujours pas certain de ce qu'il signifiait.
"Regardez, le fait est qu'aucun des infirm
iè
res et infirmiers veulent vous travailler dans mon bureau et je ne peux pas avoir ce type de conflit. Je tien
s
à vous aider, mais j'es
pè
re que vous pourriez m'aider en arr
iè
re et faire quelque chose pour moi en retour."
" Je comprends ", je l'ai dit, pour essayer de cacher ma co
lè
re. Je ne pouvais pas croire qu'ils iraient jusqu
'
à essayer de me c
oû
ter mon emploi.
"Avez-vous vraiment comprendre?" Le Dr Shaffer m'a deman
dé
. " Je suis lonely, Ivy. J'a
iét
é lonely depuis si longtemps."
Il scooted plus p
rè
s de moi et j'ai pris une plus grande gor
gé
e de mon verre. Valarie avait raison. Comment avais-je pas su ce qu'il voulait? J'ai pen
s
é à la marche de cette maiso
n
à droite et puis les rapport
s
à la police ainsi que le conseil
mé
dical, mais qui ne me croit? Tout ce qu'il aurai
t
à dire c'est que j'ai menti et cherchen
t
à obtenir de l'argent. Mais je ne voulais pas de renonce
r
à cette chance de faire l'ex
pé
rience de ce que M. Shaffer avai
t
à offrir. J'ai e
u
à m'assurer qu'il a compris que je n'allais pas ruiner mon in
té
gri
t
é pour un travail.
"Oui, M. Shaffer, je comprends ce que vous dites, " Je lui ai dit. "Mais je tien
sé
galemen
t
à vous comprendre que je ne suis pas d'accor
d
à ce de garder mon emploi. Si vous alle
z
à m
'é
crire une lettre de recommandation, je veux qu'il soit parce que j'ai fait un bon travail, non pa
s
à cause de ce que j'ai fait pour vous ce soir ".
Le Dr Shaffer a semb
l
é surpris au premier abord, mais sourit. Il s'est le
v
é et s'est empa
r
é de mon
côté
,
" bon. Je suis heureux que nous ayons une comp
ré
hension", me dit-il. Il m'a ti
r
é jusqu
'
à lui et me dominait. Il enveloppa son bras autour de moi et m'a ti
r
é p
rè
s, claquer ses
lè
vres sur ma propre.
Il n
'é
tait pas ce que j'attendais, pour lui de se
dé
placer si vite, mais j'ai app
ré
c
ié
. Il pous
sé
e sa langue dans ma bouche environ et ti
r
é moi encore plus proche. Je pouvais sentir son robinet croissant rapidement contre le bas de mon estomac. Je ne pouvais pas croir
e
à quel point il devenait rapidement acti
vé
e.
Il s'empara de la
tê
te vers l'arr
iè
re. "J'a
iét
é en attente pour ce depuis le premier jour
o
ù vous avez commen
c
é à travailler dans mon bureau", dit-il, dans un murmure.
Je ne pouvais pas croire ce qu'il disait et je ne pouvais pas croire ce que nous faisions. Il n'a pas perdu de temps et reti
r
é ma robe. Il atteint derr
iè
re moi et mon soutien-gorge unclasped rapidement, mes seins rebondir comme il a tr
aîn
é hors tension. J'a
iét
é soudain stu
pé
fait de voi
r
à quel point notre peau contraste les uns les autres. La mienn
eé
tait brun fon
c
é et bien qu'il ai
tét
é tan, pres
s
é contre moi il regarda blanche comme la neige.
Le Dr Shaffer a pris un de mes seins dans sa main et a commen
c
é à frotter mon
déj
à rock dur mamelon. Je n'ai pas pu m'em
pê
cher de ressentir acti
vé
e. Il etait un homme
sé
duisant et son toucher dou
xé
tait forte, mais dans le
mê
me temps.
Je laisse un petit
gé
mir et pu dire qu'elle ne l'a encoura
gé
. J'ai pris la parole devant lui en rien de plus qu'une rose lacy Thong. Sa chambr
eé
tait fr
aî
che et de l'air faites mes mamelons encore plus difficile. M. Shaffer envelop
p
é ses deux bras autour de moi, l'accaparement mon cul avec ses mains. Il m'a ti
r
é contre sa queue dure et mon coeur a commen
c
é à la race.
Il a commen
c
é à s'embrasser mon cou et pressant mon cul, il a glis
s
é sa main entre mon cul joues et atteint ma chatte trou.
"Vou
sê
tes tellement mouil
l
é ", il
gé
mit.
Je n'avais aucune i
dé
e de quoi dire. J'avais seulement fait une seule fois et c
'é
tait avec un ga
rç
on de mo
nâ
ge. Il n'a pas p
rêt
é attentio
n
à mon corps comme M. Shaffer n'a. J
'é
tais heureux que j'allais avoir des rapports sexuels avec un homme plu
sâgé
. Je savais qu'il saurait comment me plaire beaucoup plus que les ga
rç
ons de mo
nâ
ge.
Je pouvais sentir le Dr Shaffer frottant son doigt contre mon trou et tiraient sur mon Thong. J'ai senti qu'il glisser son autre main vers le bas de la face de mon corps, et dans ma culotte. Il frotte sa main dans ma chatte, puis pres
sé
s un doigt dans ma chatte et a glis
s
é jusqu
'
à mon clitoris.
Je me suis senti comme si mes genoux allaient donne
r
à moi. Mes jambes ont commen
c
é à trembler et j'ai
lâ
c
h
é mes bras autour du cou pour stabiliser moi-
mê
me. Il a contin
u
é à taquiner mon trou et balaye
z
à mon clitoris, et dans quelques minutes, j
'é
tais
déj
à p
rêt
à cum. Je moaned au plaisir, amputan
t
à son retour. Mes muscles ser
ré
es et je n'avais plus aucun cont
rô
le sur mon corps. Je laisse une profonde
gé
mir comme j'ai commen
c
é à cum, je pouvais sentir mon jus coulant ma cuisse, et je n'avais jamais pen
s
é que beaucoup de plaisir dans ma vie.