URBAN: In Love with A Boss Nigga (176 page)

Elle confond leurs mains dans une étreinte serrée. "Remplir toutes les promesses et les désirs que vous me disiez hier. Remplis-moi."

Il hocha la tête, avec reconnaissance. "Voilà ce que je voulais entendre, bébé. Je veux juste être absolument sûr."

Leurs lèvres se sont écrasés ensemble, puis, une bataille sans fin de piqûres et lèche, suce et gémissements. Son corps tremblait contre lui. Leurs hanches creusé ensemble dans la mémoire du temps, ils ont partagé hier, les mêmes moutures sensuelles apportant Bianca au bord de sa santé mentale. Elle enfonça ses ongles dans le bas de son dos, le marquage avec quatre longues traînées de rouge. Qui a gagné son une mouture particulièrement sévère à droite dans son coeur, la pression sur son bouton sensible faisant ses orteils curl.

Elle griffa son jean, vouloir se sentir sa bite en elle, assez taquin. Même à travers son vin brume induite, elle savait que ce que Vince était chaud et prêt pour elle. Il se recula un peu, glissant sur la braguette de son jean et en poussant ses sous-vêtements serrés vers le bas, laissant son ressort bite à la vie. Juste au moment où elle était prête pour lui de labourer il a disparu sur ses genoux à nouveau.

"See ya," at-il dit avant de plonger entre ses jambes une fois de plus. Quand sa langue a rencontré son chaleur chaud, elle ne pouvait pas aider le gémissement qui sortit de sa bouche, mais elle a couvert sa bouche rapidement, en espérant que personne ne l'avait entendu.

Vince a souri et a continué son travail, laissant Bianca être affût, tout en essayant de se concentrer sur le plaisir incroyable qu'il lui donnait. Elle broie ses hanches dans son visage, envie de sentir sa langue effrénée en elle. Vince agrippa ses hanches, enfonçant ses ongles dans le bas du dos de la garder le plus près possible. Ses orteils creusées dans l'herbe. Son dos voûté, la tête jetée en arrière. Son souffle est venu en culottes courtes. Elle sentit ses muscles se tendent au plus profond de son ventre.

"Dieu, Vince! Je suis gonna-"

Elle a vu que tignasse blond pop cheveux en arrière vers le haut. "Nan."

Il essuya sa bouche et lécha ses lèvres, ignorant joyeusement l'éclat Bianca lui donnait. Au contraire, il la retourna, appuyant ses seins contre le bâtiment et se plonge en elle. Il pressa son front contre son épaule et soupira de bonheur. Tout semblait si irréel. "Vous vous sentez bien," lui dit-il.

Elle sourit et hocha la tête. "Donc, ne vous. Incroyable même."

Ils se sont embrassés à nouveau, donnant à chaque autres coups de bec doux et juste se tenant. Il était étrange de se sentir Vince comme si vulnérable, mais ayant ses bras autour d'elle était si bien. Ils partageaient quelque chose qu'elle ne pensait pas qu'elle avait déjà partagé avec un autre homme avant. Elle a cessé de se disant de garder sa garde et juste - un moment - il était tout ce qu'elle jamais nécessaire et plus encore.

Bianca ferma les yeux et se perdit au rythme lent de ses hanches pompage. Des mouvements lents et railleries, remplir chaque pouce à l'intérieur jusqu'à ce qu'elle ne pouvait pas penser clairement. Ses dents se cramponnaient à la lèvre inférieure, étouffant ses cris. Ses ongles sont restés installés dans les crevasses du mur de briques, un moyen de se stabiliser contre le claquement des hanches de Vince contre le sien. Ses doigts sont restés enveloppés dans ses cheveux, un bras enroulé autour de sa taille à ajouter à ses pompes taquineries. "Je t'aime." Il murmura.

Elle a souri. «Je sais que vous ne bébé, je le sens."

Bianca l'aimait et prenait soin de lui, et elle voulait lâcher ses murs de protection et que le monde entier sache. Cela prendra du temps, mais la graine a été déjà planté, ses sentiments floraison même maintenant comme ils ont fait l'amour.

Ses jambes étaient solidement plantés dans l'herbe, son cul à la position idéale de se sentir sa tête lancinante contre sa place car il demanda à être percuté à plusieurs reprises. Elle gémit son nom entre les halètements de l'air.

«Dis mon nom nouveau," at-il supplié. Sa tête avait reculé à son endroit préféré entre son cou et l'épaule, mais sa voix a retenti haut et fort.

"Vince ..." gémit-elle sortir.

"Encore!"

Elle se tourna pour le regarder brièvement. «Vince», elle soupira, "Votre bite se sent si bien à l'intérieur de moi. Ne vous arrêtez pas ..."

Il apaisa ses mouvements alors, en essayant de retrouver son calme. "F-fuck ... oh, Bianca."

"Hmm, mon nom sonne bien sur votre langue, aussi." Elle lécha sa lèvre appréciateur avant de mordre sur elle.

«Je veux vas te faire encule si mal, mais je ne veux pas gâcher ça," at-il avoué.

"Vince, vous ne serez pas baiser cette place. Vous ne pourriez jamais baiser cette place. Faites ce que vous voulez avec mon corps. Je veux juste sentir que vous foutre."

Il agrippa ses épaules d'une seule main et se stabilisait contre le mur de l'autre. Vince a percuté elle maintenant, la conduisant au bord de l'orgasme. Le bruit sourd stable, boum, boum de son corps contre le sien la remplissait avec tant de plaisir. Sa bite gonflait en elle.

"Cum avec moi, Bianca. Baise cum pour moi bébé."

Sa main a atteint en arrière et saisit ses cheveux, le tirant pour un autre baiser chauffée. "Faites-moi, Vincent. Me faire jouir pour vous. Faites-moi crier votre nom, encore et encore. Vous voulez que, pas vous? Vous avez fantasmé sur cela, avez-vous pas?"

Il déglutit et frénétiquement hocha la tête. Sa circonférence gonflé et battait au fond d'elle, et il était prêt à éclater. Elle a essayé difficile de se concentrer sur les petits cercles ses doigts faisaient contre son clitoris. Ils étaient sporadiques et frénétique. Elle holà autour de lui serré et a crié son nom, tout comme elle l'avait promis. Son orgasme inondé par son comme elle sentit la pointe de Vince en elle. Sa chaleur lui rempli à ras bord et a fait tout son corps à tinter à la réplique de leur amour.

"Est ce que tu vas bien?" Vince haletait. Il lui tourna doucement autour de regarder dans les yeux. "Comment vous sentez-vous? Je veux dire ..."

Elle ferma les yeux, essayant de bloquer la tête de la lumière du soleil rayonnant. "Ma tête tourne et je suis écoeuré mais ... Vince ...» Elle sourit et pressa leurs lèvres. "Vous avez fait l'amour avec moi." "Bien sûr. Il est - oh merde! J'entends les gens à venir! »Ils regardèrent tous les deux à l'endroit où le son de la conversation venait. Rapidement, ils ramassés tous leurs vêtements et se sont enfuis en riant leurs ânes hors et dans l'espoir de Dieu ne les a vus. «Ce fut un proche!", A déclaré Vince. Bianca a juste ri. "Vous avez été courir avec votre bite traîner et de la merde. Mettez ça de suite! "Vince regarda sa braguette ouverte. «Je ne dois pas le temps de me fixer! Je ne voulais pas que quiconque de voir! En outre, vous ne devez pas même pantalon! »Il jeta son jean à son espièglerie avant de s'ajuster. «Allez, revenons à la dégustation de vin avant que quelqu'un se rend compte que nous avons opté pour un certain temps.» «Oui, vous avez raison. Mais peut-être qu'on peut se faufiler à nouveau. Ce dégustation de vin était assez ennuyeux. Je ne l'ai aimé pour l'alcool. "Elle a tiré ses jeans, de sauter dans eux pour les obtenir sur ses hanches. "Tu es fou, tu sais ça?" Vince dit comme il a mis son bras autour d'elle. "Mais qu'est ce que je l'aime de vous. Frais et dynamique. Comme la menthe. "" Comme la menthe, »sourit-elle. "Vous voyez, vous dites de la merde stupide comme ça et ça me rend heureux. Mais vous seul. "Le couple a commencé à marcher en direction de la partie de dégustation de vin, laissant leur petite escapade derrière la cave un bon souvenir de leur séjour en Italie ensemble.

LOVE VS. THE STREETS

(FRENCH TRANSLATION)

Shantel Johnson

© 2015 Sensual Ink Publishing

La célébration était hors de la chaîne. Roi était assis à la tête de la table, à côté de Marco son mentor et ami de longue date. Il sourit à penser à quel point ils étaient venus. Ils ressemblaient plus à un groupe d'investisseurs de Wall Street au lieu de trafiquants de drogue. Convient jusqu'à, tatoué et bu un peu le meilleur homme de liqueur avait fait.

Marco se leva déboutonner la veste de son costume italienne raffinée. Debout un peu plus de 6 pieds de haut, il aurait pu facilement être pris pour un super modèle. Il avait cette sombre, regard ciselé, pas exactement beau et pourtant virile attrayant. Marco était l'homme de l'homme dans tous les sens du mot. Chef de file a été écrit sur lui. Il leva son verre pour porter un toast. Et l'éclat et bling de son anneau, flashé tout le monde dans la salle.

"Mes frères, oh et soeur," at-il dit faisant référence à Big Cissy, la seule fille dans le groupe. "Nous avons atteint notre étape et maintenant il est temps pour nous de célébrer." Le groupe a applaudi. "Mais, tenez-vous maintenant nous ne se fait pas. Nous avons eu une grande expédition à venir et cette merde doit aller vite. Levez-roi! "

Roi se leva pour plus d'applaudissements. Marco a mis son bras autour de lui et étreint son frère. "Merci à ce nigga ici, nous sur certains nouvelle merde. Voilà pourquoi je suis le promouvoir au premier lieutenant ".

"Roi!" Tout le monde a crié en guise de salut.

«Ça a été long à venir," Marco a continué, mais bien méritée. Ce frère a travaillé vraiment dur d'être un leader, un homme d'action et cela va juste pour montrer ce que vous pouvez faire avec un peu ou rien. "

Marco a sorti une boîte noire et l'a remis au roi. Roi ouvrit et trouva une montre Rolex en or incrusté. Ses yeux se sont allumés.

«L'homme Awe, merci! Damn! "King a dit étreindre Marco.

"Eh bien mérité Bruh, maintenant nous allons pop quelques bouteilles!"

***

Plus tard dans la soirée après que la plupart de l'équipage avaient quitté, Marco appelé roi de retour dans son bureau. Ce fut le seul dealer noir qu'il savait avoir un bureau Buckhead avec une réceptionniste. Roi redressé sa cravate et sourit à son reflet dans le miroir ascenseur. Il était sur le monter et bientôt il pensait qu'il aurait un bureau comme ça.

"Roi! Marco le salua quand il est descendu de l'ascenseur. Venez sur l'homme, qu'il me suive. Me rafraîchir la mémoire. Est-ce votre première fois? "

"Oui, ma première fois. Il est vraiment agréable. "King a dit vérifier les fouilles de bureau. Tout était noir et blanc. Blanc canapés en cuir avec des tables noires dans la zone de réception était une partie de la merde plus belle qu'il ait jamais vu. Le bureau a été encore mieux aménagé, avec un grand bureau d'acajou cerise de bois et meuble, d'une grande télévision à écran plat de 50 pouces et un bar. Les trois quarts du bureau a été toutes les fenêtres et le roi pouvait voir tout le chemin à Turner Field.

"Vous savez, si vous continuez à faire du bon travail, ce pourrait être vous." Marco a dit placer son bras autour du Roi. Normalement roi aurait été contrarié par ce geste, mais il savait Marco était l'homme. Pourtant, quelque chose se sentait drôle sur son extrême tendresse. Pour le plus long Bokine était son type, son numéro un. Roi ne pouvait voir Bokine abandonner sa place pour un débutant. Son intuition était en état d'alerte.

«Je vois un grand avenir pour vous et tout commence ce soir." Marco dit atteignant dans son tiroir en tirant une boîte de cigares. Il a offert un à King a alors allumé. "Asseyez-vous."

Roi était assis dans l'immense lazy boy face de Marco. Il avait lui-même pas allumé, parce qu'il était pas vraiment un fan de cigares, mais il ne le déballer et le placer dans sa bouche, comme tous les potes ont fait quand ils gesticulations place. Bien sûr, il pensait, ce pourrait être moi. Qui ne voudrait pas ce type de mode de vie pour le reste de sa vie, mais le roi a également compris que le trafic de drogue pour la vie se heurterait à des risques et beaucoup de revers. Il était un monde impitoyable dans lequel il voulait seulement un moment.

Marco se pencha sur son bureau, remise roi un bout de papier. Il frotta sa barbe et son oreille. Quelque chose roi avait vu faire maintes et maintes fois, notamment lors de la prise une décision importante.

«Je dois vous faire un pick up pour moi et avant de vous dire tout ce que je sais que vous ne faites pas habituellement ce type de merde ... mais celui-ci est spécial et il faut quelqu'un que je peux faire confiance. Ce que vous avez là est l'adresse et l'heure. J'envoie Bokine avec vous juste pour la protection, mais il ne sera pas aller avec la valise, vous seul. Vous me sentez?"

Roi acquiesça, pensant que ce serait sa chance ... son premier emploi en tant que premier lieutenant ou il pourrait être sa dernière chance.

***

Bokine était dans le siège du conducteur tandis que le roi montait fusil de chasse. Il était bien après minuit, de sorte que les rues étaient presque vide des conducteurs. Bokine était un tueur chevronné et go de Marco à chaque fois qu'il avait besoin d'un sale boulot fait qui exigerait muscle. Il était facilement plus de 6 pieds 5, mince et rapide. Roi lui avait été témoin de la course de haies sur 5 clôtures de pied en un seul bond. Bokine n'a pas été très bavard si, comme il le ferait attendre il n'y avait pas de conversation étant eu sur ce trajet.

L'entrepôt était assis à la périphérie de la ville où entrepôt après entrepôt assis. Il y avait Chicos, Black Market / Marché Blanc et quelques autres points de vente inconnus. Bokine tiré derrière Black Market / Marché Blanc et attend le signal pour nous d'aller plus loin. Roi saisit le cas comme il tenait son propre enfant. Il ne pouvait pas vraiment décrire ce qu'il ressentait, peut-être un mélange de nervosité, l'anxiété et d'excitation tout à fait. Malgré tout roi est restée calme.

Bokine fut le premier à briser la glace. "Vous cool?" Il a demandé.

«Ouais, alors quel est le signal?» Demanda le roi. Avant qu'il ne puisse sortir les mots de sa bouche, il a remarqué clignotant poutres de voiture en face de lui juste sur la route. Drôle comment il n'a pas vu les venir, et il n'a pas entendu un moteur de voiture.

Bokine se tourna vers lui. "C'est tout. Tu devrais y aller"

Roi est sorti de la voiture avec le cas et se dirigea vers les lumières et la voiture devant lui. Cela pourrait être le suicide et il n'a même pas avoir un morceau. Rien. Juste ce cas sacrément. Il ne pouvait empêcher de penser à un plan de sauvegarde; personne ne discuté d'un plan de sauvegarde.

Merde, ce qui était le plan de sauvegarde?